Entre ses documentaires reconnus pour être de très bonnes qualités, ses séries cultes et ses programmes de télé-réalité, Netflix a aussi su se faire une place dans le milieu très sélect de l’animation et ce ne sont pas les projets qui manquent. La plateforme de streaming a d’ailleurs saisi l’opportunité du 61ème Festival international du film d’animation d’Annecy pour donner plus de détails sur ses futurs programmes originaux. Qu’il s’agisse de films ou bien de séries, à destination des adultes comme des enfants, le géant américain a tout prévu, toujours guidé par un réel souci de diversité.
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Le monstre des mers – Le 8 juillet 2022
Présenté par Peter Debruge, critique de cinéma pour le magazine Variety, cet événement s’est ouvert avec un aperçu exclusif de “Le monstre des mers”, une aventure extraordinaire sur fond de chasse aux monstres marins réalisée par Chris Williams et qui sera disponible à partir du 8 juillet 2022 sur Netflix.
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Wendell & Will – Prochainement
Le réalisateur Henry Selick, a ensuite pris le relais en abordant le travail réalisé autour de son conte animé en stop-motion “Wendell & Wild” qui réunit au casting vocal Jordan Peele (Get-Out, Us) et Keegan-Michael Key.
My father’s dragon – Prochainement
Nora Twormey, réalisatrice de My Father’s Dragon , est également montée sur scène et a évoqué le parcours créatif qui a permis de développer son film avec le studio d’animation Cartoon Saloon, nommé cinq fois aux Oscars. . Inspiré des livres pour enfants lauréats du prix John Newbery, ce film d’animation suit les aventures d’un garçon qui se sauve sur une île pour sauver un bébé dragon.
The Magician’s Elephant – Prochainement
Nora Twormey a ensuite fait place à Wendy Rogers, réalisatrice de The Magician’s Elephant qui a présenté une vidéo spéciale et déclaré : « Je m’estime vraiment chanceuse d’avoir pu faire ce film pour Netflix, qui ne se limite pas à un seul style, mais qui accueille également des styles qui ne rentrent dans aucun moule. Ce film est très différent des autres. Son caractère est unique. Je suis ravie que nous ayons pu utiliser toutes les technologies et performances d’animation actuelles, ainsi que toute la maturité de cet art, pour donner vie à ce récit. »
Nimona – Prochainement
Inspiré du roman graphique primé de ND Stevenson, Nimona évoque le thème des étiquettes que nous attribuons aux individus à travers une métamorphe qui refuse d’être définie par qui que ce soit. Nick Bruno et Troy Quane ont déclaré dans un récent communiqué : « Cette histoire a tout pour plaire : anarchie punk rock, meurtre, comédie, meurtre, chevaliers, voitures volantes, métamorphes, meurtre et amour ! » . Il nous tarde d’en voir et d’en savoir plus !
Les murs vagabonds – Le 16 septembre
Ce petit bijou japonais qui nous vient tout droit des Studio Colorido à qui l’on doit notamment “Loin de moi, près de toi” et du “Mystère des pingouins”, racontera l’histoire d’un immeuble qui part à la dérive.
Spirit Rangers – Prochainement
Une attention toute particulière est aussi accordée aux tout-petits qui pourront bientôt profiter de Spirit Rangers, une série épique et fantastique créée par Karissa Valenciam qui s’attaque à ce manque de confiance que ressentent encore aujourd’hui les enfants améridiens.
My Dad The bounty Hunter – Prochainement
My Dad The Bounty Hunter sera selon son créateur, Patrick Harpin, « une déclaration d’amour à l’animation, à la science-fiction et aux familles noires, sous forme de comédie d’action ».
Entergalactic – Le 16 septembre
Entergalactic, cette animation imaginée par Kid Cudi et Kenya Barris raconte l’histoire de deux jeunes artistes confrontés à la difficulté de trouver l’amour à New York.
Pinocchio – Prochainement
Enfin, la présentation des contenus d’animation de Netflix s’est achevée en beauté avec un aperçu exclusif et inédit du très attendu Pinocchio. Guillermo del Toro a présenté la prochaine adaptation en stop-motion du célèbre conte italien : « Cette décennie est celle où nous pouvons souligner l’importance de cette vérité dont nous avons déjà tous conscience : l’animation c’est du cinéma. L’animation ce n’est pas un p*** de genre ! »